Moriyama Daido
(dis)connected
Acts of Appearance – Gauri Gill
Vevey Images : Entre passé et futurL'influence de l'intelligence artificielle générative est bien présente dans ce rendez-vous photographique. La « manipulation » de l'image est pourtant bien antérieure comme le suggèrent de nombreuses œuvres. L'uniformisation et le calibrage des images qui entraînent une négation de la diversité et représentent un danger plus sournois comme le révèle cette recherche de modèles standardisés en vue du Future Perfect de Zosia Promińska.
Le pouvoir narratif de la photographie permet de susciter de fortes émotions, comme le rappelle Red Horse de l'ukrainien Sasha Kurmaz qui documente froidement l'impact de la guerre – ici, en Ukraine – sur les corps, les bâtiments, la nature et les esprits. Un potentiel que l'IA traduit à sa manière dans One Last Journey d'Alexandre Chernikov.

Ces recherches nous feraient oublier la poésie de l'image qui n'est pas l'exclusivité de la Belle époque (Vincent Jendly) et du monde d'une enfance à retrouver Imagine Finding Me (Chino Otsuka).
Site de la Biennale
Les propositions de Stéphane Gobbo pour Le Temps

Ikonar
Photo Elysée, Lausanne
Site de l'exposition
La fondation Josef Koudelka
Koudelka Shooting Holy Land
Geneviève Dentan et Yvan Thorimbert pour la RTS
Stéphane Gobbo pour Le Temps
Jean-Marc Falconnet – Charles Copaver
oublier [ses origines] c’est se priver d’une partie de soi-même
Jean-Marc Falconnet
Découvrant tardivement ses noms de naissance et la réalité de son origine guadeloupéenne, Falconnet/Copaver se lance dans la photographie en autodidacte. Sa série self illustre une quête de soi, jusqu'à l'intime.
Le site de la galerie
Site du photographe
Laetitia Wider, Jon Björgvinsson pour la RTS
Stéphane Gobbo pour Le Temps
Le hasard des choses
Images Vevey – un aperçu
Kensuke Koike et Thomas Sauvin

The Mother as a Creator – Annie Hsiao-Ching Wang : la maternité, vie projetée
La lueur du désastre – Stephanie Montes : réalité mise en scène
I Am Afraid, I Must Ask You to Leave – Julian Charrière & Julius von Bismarck : réalité manipulée
Lux in tenebris – Vincent Jendly : enfer marin
Escape from Paradise – Benoît Jeannet : paradis terrestre
Aya – Yann Gross & Arguiñe Escandón : l'esprit de la forêt
All That Life Can Afford – Matt Stuart : l'instant magique
Walk on Clouds – Abraham Poincheval : le voyage imaginé
NYsferatu : Symphony of a Century – Andrea Mastrovito : étrange étranger à la découverte de NYC
Memories of a Silent World – Brodbeck & de Barbuat : seul !
Weekend – Lei Lei : animation
Ke sale teng – Kganye Lebohang : diorama
Melting Memories – Refik Anadol : fluctuations de la mémoire
Der Lauf der Dinge – Peter Fischli & David Weiss : la vie des objets
Beggar's Honey - Chapter I : Latent Bloom – Jack Latham : aléas
Blueman on tour – André Kuenzy : rencontres
No More, No Less – Kensuke Koike et Thomas Sauvin : réalité fragmentée

Vasantha Yogananthan
It was 05:04 in the morning; the sun rose over the mighty Ayodhya kingdom. As if on cue, everybody took turns to take a dip in the waters of the mighty Sarayu River. The holy men lifted their hands above their heads; a slow chant rippled across the calm waters, broken only by the swish-swish of the dhobis washing clothes. Everyone had just one prayer for their beloved and dutiful King Dasharatha. They prayed that a son would be born to him.
Early Times
Text by Anjali Raghbeer
Vasantha Yogananthan © Cécile Poimboeuf-Koizumi

Le projet Myth of Two Souls est inspiré du mythe millénaire du Rāmāyana, conte philosophique dont la présence imprègne toujours la culture indienne. Le photographe français retrace en sept chapitres, comme l'épopée originelle, ce parcours de la frontière népalo-indienne au Royaume de Lanka. Pour chacune de ces étapes, son approche artistique évolue.
Loin de l'iconographie criarde des affiches de Bollywood, les techniques favorisent les ambiances brumeuses et les tons pastels.
Site du photographe –
Site du projet A Myth of Two Souls –
Musée de l'Elysée
Dossier de presse
Caroline Stevan pour Le Temps
Martine Frank
Conçue par la Fondation Henri Cartier-Bresson, Paris
Une lettre à la révolution.
Du jour de la naissance jusqu'à l'instant de la mort la vie n'est qu'une révolution constante. Rien n'est permanent. Le plus difficile est d'accepter les changements en soi, autour de soi, chez les autres, et pourtant la plus belle aventure n'est-ce pas ce parcours qui part de soi pour se connaître, s'oublier et se dépasser ?Martine Frank
Musée de l'Elysée
Dossier de presse
Caroline Stevan pour Le Temps
National Gallery of Art
L'aile ouest, inaugurée en 1978, de l'architecte I. M. Pei présente des œuvres modernes et contemporaines. L'accrochage, dans l'une des tours, des 14 panneaux de The Stations of the Cross--Lema Sabachthani de Barnett Newman et dans la salle adjacente de magnifiques Rothko est particulièrement attirant.
Le site de l'institution mérite une visite : chaque œuvre est détaillée y compris les milliers qui n'ont pas la place d'être accrochées.
