Le monde de Tardi

Voilà ce qui arrive quand on perd la mémoire. On est nu, comme les sans-papiers, seul au bord d'un abîme, épuisé, sans défense, à la merci de tous les vents.

Paolo Rumiz
Comme des chevaux qui dorment debout – p. 222


Moi René Tardi, prisonnier de guerre au Stalag IIB
blogEntryTopper
Antoine Duplan pour Le Temps
Cartoonmuseum Basel