Il part donc à Singapour avec le journal de sa mère et quelques photos pour retrouver les traces de ses parents dans l'archipel. Ce sont les odeurs et les goûts qui l'aident dans sa quête des origines. Il n'a de cesse de reconstituer le Ramen Teh qui exprime la synthèse de sa filiation japonaise par son père et sino-singapourienne par sa mère.
Son voyage est un parcours initiatique dans les cuisines de l'Asie. Le plat qui résulte de l'alliance du ramen et du bak kut teh devient métaphore de la vitalité retrouvée de Masato.

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Critique de Stéphane Gobbo pour Le Temps

Tags Cinéma, Japon